Mea Shearim
Derrière le noir et blanc des pashkevilim, une société haredi haute en couleurs
Ces larges affiches tapissent les quartiers ultra-orthodoxes d’opinions tape-à-l’œil sur des sujets d’actualité. Entre critiques et protestations, elles sont le reflet des enjeux traversés par une communauté pas aussi uniforme que son monochrome vestimentaire.
Souccot: « le festival de la joie »
Après Rosh Hashana et Yom Kippour, Souccot offre un bouillonnement de joie à la ville de Jérusalem. Plus de shoffar, mais un bouquet de quatre espèces végétales et une maison en bois appelée soucca. Des festivités sous haute surveillance policière.
« Zone interdite » pour les juifs ultra-orthodoxes indisciplinés
En Israël, les haredim, les juifs ultra-orthodoxes, s'opposent aux restrictions imposées pour contenir la pandémie de Covid-19, ce qui entraîne de graves conséquences. Par ailleurs, le ministre ultra-conservateur de la Santé, Litzman, a été déclaré positif.
Le monde méconnu des Craignant-Dieu
Extérieurement on reconnaît les haredim (pour le sens des mots en italique, voir le glossaire page 31) à leurs papillotes de cheveux bouclés et à leur grand chapeau noir. Mais on connaît peu le quotidien des quartiers très fermés où vivent ces hommes en noir. Immersion au sein du monde de l’ultra-orthodoxie juive avec la socio-anthropologue Florence Heymann.