Araméens
L’Etat d’Israël autorise la communauté araméenne à choisir une éducation juive ou arabe
La décision marque un tournant important dans la reconnaissance des droits de la minorité araméenne d'Israël. "C'est notre droit fondamental d'éduquer nos enfants selon nos croyances", affirme pour le Haaretz Shadi Halul.
Un village 100% araméen en Israël ?
Shadi Khalloul, de l’Association des chrétiens araméens d’Israël a soumis au bureau du Premier ministre israélien un projet de ville nouvelle pour les chrétiens araméens en Israël. Un genre d’initiative controversé.
Nationalité araméenne : diviser pour régner ?
En septembre, le ministre de l’Intérieur israélien a signé un décret permettant aux chrétiens israéliens jusque-là identifiés comme “arabes” de se définir comme “araméens”. Une décision qui fait polémique.
Les chrétiens « araméens » d’Israel
Le 16 septembre, le ministre de l'intérieur israélien, Gideon Saar, a ordonné aux bureaux de l’administration qu’ils enregistrent comme "araméens" les Israéliens chrétiens qui ne souhaitent plus être qualifiés d'"arabes". L’idée était déjà dans l'air depuis un certain temps et a immédiatement été contestée par la Commission Justice et Paix des Ordinaires de Terre Sainte; mais qui sont ces chrétiens "araméens" ?
Guerre fratricide autour du service sous les drapeaux
Le père Gabriel Naddaf, prêtre grec-orthodoxe à Nazareth, a brisé un tabou qui a tous les ingrédients pour provoquer une guerre idéologique : en militant pour l’engagement des jeunes chrétiens israéliens dans le service civil et militaire, il menace de clivage la population chrétienne de Terre Sainte.