Billets d’humeur
Ça déva comme on dit à La Machine – TSM 693
La question piège à poser à quelqu’un vivant ici c’est : « Comment ça va » mais il y a une bonne réponse dans le patois machinois.
Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu? – TSM 692
L'absence des pèlerins se fait lourdement sentir. La question est moins économique qu'il n'y paraît. Recevions-nous des pèlerins ou des touristes qui se détournent de la destination quand elle ne répond plus à leurs critères de vacances ?
Repenser le dialogue avec le judaïsme et Israël après la guerre – TSM 691
Cette guerre entraîne l’Etat d’Israël et une partie du judaïsme sur des voies où on ne les attendait pas. Il faudra en prendre acte.
J’ai peut-être un Takotsubo mais je me soigne – TSM 690
Takotsubo la maladie du coeur brisé
Mgr Pizzaballa a tracé le cap pour 2024 – TSM 689
Une fois n'est pas coutume, dans ce billet d'Humeur la parole est laissée au Cardinal Pizzaballa.
Passer son Avent à attendre Pâques – TSM 688
Quel goût aura l'Avent quand il se passe en temps de guerre ? Il faut le vivre au diapason de la souffrance mais aussi à celui de l'espérance qui est en nous.
Pas de baffes mais des cartons rouges – TSM 687
Aimer et prier ne nous empêche pas de dénoncer ce qui doit l’être. Et si on se retient de distribuer les baffes, façon Obélix, on lève bien haut le carton rouge : les actes anti-chrétiens doivent quitter le terrain.
Dona nobis requiem – TSM 686
Je milite pour des pèlerinages qui ne soient pas des produits de consommation comme les autres, pas des promesses « d’avoir tout fait, tout vu », mais des temps de vacances.
Et j’ai porté le poids de tous ces cœurs – TSM 685
C’était un après-midi d’avril. J’avais rendez-vous avec les pèlerins d’une paroisse lyonnaise. À la fin de la rencontre, une dame s’approche en tenant une enveloppe. Elle m’explique que ce sont des intentions de prière qui m’étaient confiées.
C’est le carême, je me tiendrai au Calvaire – TSM 684
Je m’apprêtais à intituler ce billet « Se souvenir des belles choses ». Cela aurait été la seconde fois, et pour les mêmes raisons que la première. Les nouvelles sont mauvaises d’où qu’elles viennent. Et la situation est d’autant plus déprimante que tous les ingrédients sont là pour qu’elle empire.