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Les Palestiniens se réapproprient l’art de la mosaïque
À Jéricho, le Mosaic Centre s’est donné pour mission de contribuer à transmettre l’héritage culturel palestinien. Tesselle après tesselle, ses artisans tentent de faire revivre la grande tradition de la mosaïque palestinienne.
Le but de l’archéologie biblique c’est l’homme
Arrivé à Jérusalem il y a 50 ans, et venu à l’archéologie en partie par hasard, le frère Jean-Baptiste Humbert, compte aujourd’hui parmi les éminents archéologues chrétiens de Terre Sainte. Lors d’un entretien, il revient sur ce qui le fait vivre.
L’ichtys de la basilique de Bethléem
On va de découverte en découverte dans la basilique de la Nativité ! Voici une mosaïque de haute portée théologique.
La jeunesse arabe face à son avenir
Durant une semaine cet été se sont tenues à Beyrouth les Journées Régionales de la Jeunesse (JRJ). L’évènement a rassemblé plus de 350 jeunes chrétiens du Moyen-Orient. Le père Gabriel Khairallah, jésuite franco-libanais en charge du projet, nous livre ici son témoignage.
L’eau, tant d’insécurités
Le MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) est la région où les problèmes d’approvisionnement en eau sont les plus importants. Elle compte environ 5% de la population mondiale et seulement 1% des ressources en eau renouvelables. Cette région couvre 1/10e des terres où ne tombent que 2% de précipitations.
Saint-Joseph, là où naît la paix
À Jérusalem-Est la maternité Saint-Joseph est un lieu de coexistence unique. Grâce à la vision de sœur Valentina Sala, c’est le seul endroit où une équipe médicale entièrement palestinienne accueille des Israéliens juifs.
Le Tombeau des rois ouvert au public
Tenu pour être le tombeau des rois David et Salomon, les charmes du lieu tombèrent quand au XIXe siècle on n’y vit plus que la tombe d’une reine méconnue. Au XXIe siècle la polémique de la propriété vaut au site un regain d’intérêt.
Les arméniens clôturent le cycle de Noël à Bethléem
Le père Samuel Aghoyan est le supérieur de la communauté arménienne au Saint-Sépulcre. Chaque année pourtant, le 18 janvier, il s’échappe de la ville sainte pour célébrer… Noël. A cette date insolite en effet, les arméniens apostoliques apportent leur touche propre aux célébrations de la naissance de Jésus à Bethléem.
Les grecs-orthodoxes à la mode orientale
Tandis qu’en Grèce on célèbre Noël le 25 décembre, à Jérusalem, le patriarcat grec-orthodoxe hellène a choisi de suivre le calendrier julien à l’unisson des autres Églises orientales orthodoxes. Celle des confessions qui se donne le titre d’Église-mère, de par le nombre de ses pèlerins et fidèles, est celle qui attire le plus de monde à Bethléem pour ses célébrations.