génocide
A Jérusalem, un siècle de commémoration du génocide arménien
Sociologue des questions politiques israéliennes, Yona Weitz a passé vingt ans à étudier les commémorations du génocide, tout au long du XXe siècle, dans le quartier arménien de Jérusalem. Elle a achevé sa thèse en 2010.
Comment Jérusalem fit échec à la Grande Catastrophe
Grande figure de la communauté arménienne de Jérusalem, George Hintlian, éclaire pour Terre Sainte Magazine les conditions qui permirent à Jérusalem de devenir un lieu refuge, bien qu’en 1915 elle fit encore partie de l’Empire ottoman. Et comment la communauté prit.
Comment la Terre Sainte a accueilli les rescapés arméniens
La majorité des arméniens de Terre Sainte sont les descendants de rescapés du génocide. La Palestine comptait moins de 1 500 arméniens avant 1915, et dix fois plus en 1925. Le couvent Saint-Jacques, à Jérusalem, a grandement contribué à l’accueil des réfugiés.
Arméniens: la renaissance d’une communauté à Jérusalem
Même si les arméniens étaient présents en Terre Sainte bien avant le génocide, cette tragédie a eu un impact majeur sur l’évolution de cette communauté à Jérusalem depuis un siècle.
Israël face au génocide arménien
Contrairement à de nombreux pays, dont la France, Israël n’a jamais reconnu le génocide arménien. Certains soupçonnent les juifs de vouloir ainsi garder le monopole de “leur” génocide.
Seyfo le génocide oublié
Les syriaques l’appellent Seyfo, un mot araméen qui signifie épée. C’est leur catastrophe à eux. Celle qui a vu 70 % des araméens de Turquie tués dans la suite du génocide arménien. Terre Sainte Magazine a rencontré des syriaques de Jérusalem pour revenir sur ces événements et leurs conséquences pour la communauté locale.
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Dans l’oasis arménien de Jérusalem
La porte du couvent arménien franchie, un nouveau monde s’offre à la vue du chanceux visiteur. Un lieu séparé du reste de la chaotique vieille ville de Jérusalem, et dont la tranquillité fut conservée pendant des siècles par la petite communauté qui y réside. Aujourd'hui, on compte près d’un millier d’habitants dans le quartier arménien, soit dix fois moins qu’en 1948.