TSM
Le fou de Dieu
Un martyr, un missionnaire, un orateur, un apôtre de l’Église primitive ? Bien qu’on cherche à le cataloguer, François reste en dehors des schémas et son expérience chrétienne est impossible à situer dans les canons de la perfection pratiquée à son époque. Il se distingue par une totale radicalité évangélique, fondée sur la logique des Béatitudes.
Mgr Gollnisch : “Je suis plein d’optimisme sur les relations entre chrétiens et musulmans”
Mgr Pascal Gollnisch, directeur de l’œuvre d’Orient, est un des meilleurs spécialistes de la situation des chrétiens orientaux. Connaissance qu’il s’est acquise en visitant très régulièrement les communautés chrétiennes sur place. À l’occasion d’une de ses venues à Jérusalem, Terre Sainte Magazine l’a interrogé : qu’en est-il du lien entre chrétiens et musulmans dans la région après Daesh ?
D’Assise à Damiette
François et les frères mineurs comprirent dès le début que leur devoir était de prêcher non seulement aux chrétiens mais à tous les hommes. C’est ainsi qu’ils se mirent en route vers les terres musulmanes. François partit en Orient voir le sultan que l’on disait passionné de culture occidentale et qui aurait même étudié à Paris…
Comme François rêveur de paix
Dans un monde où revient le paradigme du choc des civilisations et où l’unique solution semble être encore le recours à la force, la rencontre de Damiette nous rappelle à quel point l’usage de la violence est imprudent, à quel point la victoire obtenue par la force est illusoire, combien fragile est la paix sans dialogue ni réconciliation.
La foi avance par attraction, non par récupération
Frère Stéphane Delavelle est franciscain à Meknès. Sa mission éclaire d’un autre jour les paroles du pape François lors de son récent voyage au Maroc : “Les chemins de la mission ne passent pas par le prosélytisme”, le pape qui demandait aussi aux consacrés d’être “sacrement de la présence”.
Ouvrir les yeux sur la piscine de Siloé
L’archéologie a remis en cause nombre de nos connaissances sur le site de Siloé ces quinze dernières années, mais l’expérience spirituelle demeure la même.
Le yiddish n’a pas dit son dernier mot
La bibliothèque nationale israélienne et l’Université de Tel Aviv ont entrepris de numériser les journaux yiddish publié dans l’entre-deux-guerres. Il y a un regain d’intérêt pour le yiddish en Israël. Cours, représentations théâtrales attirent un public toujours plus jeune et nombreux.
Un silence significatif
Certains silences de l’Écriture continuent à interroger les âmes pieuses. Parmi ces omissions - que les récits apocryphes combleront rapidement - il faut mentionner le sort de Marie au matin de la Résurrection. Curieusement parmi les femmes qui se rendent au tombeau Marie, la mère de Jésus, n’est pas mentionnée.
Le Saint-Sépulcre méconnu
Quand il faut percer la foule pour réussir à se hisser au Calvaire, s’il faut attendre parfois longtemps pour entrer dans l’édicule, la visite de la basilique du Saint-Sépulcre lors d’un pèlerinage peut se réduire à sa plus simple expression. Mais la basilique vaut plus que cela. Son histoire, son architecture, sa spiritualité méritent que l’on s’y arrête et que l’on y revienne encore et encore pour se laisser imprégner par l’itinéraire intérieur qu’elle offre à qui veut bien s’en saisir. Terre Sainte Magazine vous conduit dans quelques recoins méconnus de l’édifice dans le désir toujours de rencontrer le Ressuscité.
Si les fresques d’Abu Gosh m’étaient contées
Réalisées au XIIe siècle, les fresques de l’église d’Abu Gosh racontent plus de huit siècles d’histoire, d’art et de spiritualité en Terre Sainte. Un collectif dirigé par le médiéviste Jean-Baptiste Delzant illustre la façon dont les époques se sont réapproprié leur programme iconographique.













